Pour Coapi, le bonheur au travail est une valeur essentielle

Avant de lâcher son emploi pour élever des chèvres dans le Larzac, ou faire des confitures en Auvergne, un autre choix est possible: celui de la Coopérative d’Activités et d’Emplois, où on peut créer son activité de manière sécurisée, en étant accompagné et en même temps autonome.

Pour Coapi, le bonheur au travail passe avant l’argent… Sans mettre de côté l’idée de gagner de l’argent, la préoccupation des co-entrepreneurs est aussi de s’épanouir dans le travail, d’y trouver matière à être heureux. Cette idée passe aussi par la rencontre et l’échange.

Une enquête internationale (menée par société de travail collaboratif Wrike et relayée par Europe 1) a posé cette question à des salariés américains, anglais, allemands et français :

« Acceptez-vous l’idée d’une baisse de salaire, en échange d’un travail qui vous rendrait plus heureux ? ».

32% des Français disent oui tout comme 29% des Allemands, 54% des Anglais et 58% des Américains.

Mais quelle est la définition d’un travail qui rend plus heureux ? Qui est plus épanouissant ?
Dans le détail, il s’agit d’un travail qui a du sens, dans un endroit qui nous convienne… Cette petite musique monte sur le mal-être des salariés dans les grandes métropoles : ils ne voient pas toujours très bien l’intérêt de leur job.


Ce que confirme une enquête TNS kantar : 18% des salariés ont l’impression d’occuper un poste inutile.

Cela est aussi renforcée par le retour en grâce des villes moyennes au détriment des grandes métropoles, trop chères, trop impersonnelles, trop affairées…

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