Maxime Grelier, qui développe l’activité Permafforest au sein de Coapi, a besoin de votre soutien pour planter la première forêt native de Nouvelle-Aquitaine, à Dompierre sur Mer!
Tous les détails sont ici: Ulule
Maxime Grelier, qui développe l’activité Permafforest au sein de Coapi, a besoin de votre soutien pour planter la première forêt native de Nouvelle-Aquitaine, à Dompierre sur Mer!
Tous les détails sont ici: Ulule
Rendez-vous au Salon de la Déco à l’Encan du 18 au 21 octobre où Claire Lizée sera présente pour promouvoir son activité C Nature.
Sur le stand, quelques exemples de réalisation (dessins, photos…) . Elle propose un large éventail de prestations :
Ce stage, animé par Jérôme Abel, vous propose un parcours de découverte de la programmation informatique et des arts numériques à travers de petites expérimentations pratiques et ludiques.
AlphaBruttt est un parcours d’ateliers destiné à la découverte de la programmation informatique et des arts numériques.
Les participants réaliseront de petites expérimentations avec Processing / p5.js, un langage conçu pour faciliter l’apprentissage de la programmation.
Le fil conducteur sera le détournement et la création d’alphabets multimédias, en associant des lettres à des images, à des formes géométriques ou à des sons.
L’approche est volontairement pratique et ludique pour rendre accessible certaines notions techniques que les participants pourraient aborder comme les variables, les fonctions, les objets, la couleur… Ils découvriront aussi quelques œuvres artistiques pour donner une vision un peu plus générale de cette culture.
Les Samedis 9, 16, 30 novembre et 7 décembre de 14h à 17h
Renseignements: Carré Amelot
“Depuis le 13 septembre, le Premier Ministre a annoncé “La Rochelle Territoire Zéro Carbone” lauréat de l’appel à projets national “Territoires d’Innovation”. Cette annonce salue la forte mobilisation des 130 partenaires publics et privés engagés dans cet ambitieux projet humain et urbain. Elle confirme également la pertinence d’une démarche qui vise à apporter des réponses concrètes au changement climatique en améliorant la qualité de vie des citoyens. Elle marque enfin un tournant majeur pour le territoire et ses habitants, qui seront les principaux acteurs des changements à venir.”
La démarche partenariale La Rochelle Territoire Zéro Carbone porte l’ambition que l’Agglomération devienne le premier territoire littoral français à atteindre un bilan « zéro carbone » à horizon 2040.
Localement, de nombreux acteurs œuvrent déjà à cet objectif et font vivre la transition écologique, économique et solidaire sur le territoire. La communauté d’Agglomération de La Rochelle souhaite accompagner ce dynamisme et soutenir ces initiatives : https://youtu.be/UTULNeGxeYQ
Voici deux manières et niveaux d’engagement possibles :
Vous avez jusqu’au lundi 30 septembre 2019, 23h00 au plus tard, pour candidater.
Son objectif est de soutenir des initiatives et expérimentations de transitions dans divers champs (énergie, biodiversité, déchets, alimentation, etc.). Vous trouverez plus d’informations sur cet appel à projet et les modalités de financement dans le règlement ainsi que les pièces du dossier de candidature sur le site de l’Agglomération en suivant ce LIEN.
Mardi 15 octobre de 17h45 à 21h30
Ce rendez-vous vient continuer le travail amorcé autour des synergies et les projets et partenariats identifiés : 17 fiches actions définies
Au sein de la coopérative d’entrepreneurs de Charente-Maritime COAPI, plusieurs entrepreneurs sont au coeur de cette transition énergétique et comportementale (permaculture, reforestation, méthanisation, mobilités…), d’autres sont spécialisés dans l’innovation et la conduite du changement.
… Nous aurons donc certainement un rôle à jouer dans notre territoire !
L’exposition Climat Océan est en cours de montage.
Lors de notre 18e Coapi, Guillaume Krabal du Musée Maritime nous a présenté la vocation du projet et les principes scénographiques.
La Rochelle -> la mer, l’océan -> son rôle dans le climat
“l’objectif, c’est de changer le regard des rochelais, des habitants des littoraux, et plus largement du grand public, de cibler avant tout les jeunes générations et inciter tous les visiteurs à s’engager sur des gestes concrets”
Visite privée et commentée de l’espace dédié à cette exposition : « une salle noire de 300 m2 qui autorise et favorise l’usage des nouvelles technologies et techniques immersives »… D’où le nom d’exposition interactive.
Du contenu localisé a même été créé pour l’exposition :
Un océan préservé = un climat protégé
Le saviez-vous ?
L’océan absorbe :
⅓ des émissions de Co2 des activités humaines
90% de l’excédent de chaleur dû aux émissions de Co2 des activités humaines
La Rochelle entretient depuis toujours une relation intime avec l’Océan. Les contributions scientifiques et les rencontres interdisciplinaires prévues pendant ces 2 ans d’exposition pourraient, qui sait, amener La Rochelle à se positionner comme “ville ressource climat océan” en continuant à explorer le système climatique terrestre et le rôle de l’océan dans l’atténuation des dérèglements actuels.
C’est comme un petit air de vacances qui a accompagné tout le séminaire de Coapi ce mardi 2 juillet!
Ambiance à la fois détendue et studieuse, souriante et attentive dans un environnement parfait, celui du Club Nautique de Rochefort !
Le fil conducteur qui a guidé nos réflexions, nos ateliers et nos partages était » La Communication ».
Certes le thème est large mais il est essentiel dans la vie de toute organisation. Et notre coopérative ne déroge pas à la règle !
Plus on grandit plus il est important de bien communiquer, d’abord au sein de notre groupe mais aussi vers l’extérieur, en mettant en avant la notion d’ « Ambassadeur » : qui mieux qu’un Entrepreneur Salarié peut raconter Coapi?
Encore faut-il avoir quelques outils pour se sentir à l’aise avec quelques subtilités juridiques ou comptables…
C’était l’occasion également de revenir sur le thème des « Valeurs », travaillées lors du précédent séminaire. Laisser « reposer » quelques semaines permet de faire mûrir la réflexion, preuve en est la richesse des échanges pour faire évoluer ces valeurs de partage et de coopération.
Au fil du temps, la notion de communauté se densifie, et le collectif prend vie !
Un merci tout spécial au Club Nautique Rochefortais, grâce à qui nous avons passé une si bonne journée !
Maxime est l’un des premiers entrepreneurs à rejoindre Coapi, en 2017, dans le cadre de son activité de vente – réparation et location de vélos à Chatelaillon, Cyclomax.
Après un parcours sportif riche en découvertes et en médailles (il a parcouru le monde entier grâce à la planche à voile au niveau olympique, et a obtenu plusieurs titres de vice-champion et champion de France, champion d’Europe et de terminer 5e au Championnat du monde!), il a décidé de poser sa voile pour le VTT cross country.
Sa passion sportive, et spécialement pour le vélo l’a mené à créer son activité, d’abord en auto-entreprise, puis à la développer en rejoignant Coapi.
Vous voulez louer un vélo pour une jolie balade en bord de mer? Vous voulez trouver le vélo juste fait pour vous? Ou alors votre vélo porte-bonheur doit être réparé?
Vous pouvez trouver Maxime, toute l’année à Châtelaillon-Plage (face à la gare)!
Page Facebook: Cyclomax
Avant de lâcher son emploi pour élever des chèvres dans le Larzac, ou faire des confitures en Auvergne, un autre choix est possible: celui de la Coopérative d’Activités et d’Emplois, où on peut créer son activité de manière sécurisée, en étant accompagné et en même temps autonome.
Pour Coapi, le bonheur au travail passe avant l’argent… Sans mettre de côté l’idée de gagner de l’argent, la préoccupation des co-entrepreneurs est aussi de s’épanouir dans le travail, d’y trouver matière à être heureux. Cette idée passe aussi par la rencontre et l’échange.
Une enquête internationale (menée par société de travail collaboratif Wrike et relayée par Europe 1) a posé cette question à des salariés américains, anglais, allemands et français :
« Acceptez-vous l’idée d’une baisse de salaire, en échange d’un travail qui vous rendrait plus heureux ? ».
32% des Français disent oui tout comme 29% des Allemands, 54% des Anglais et 58% des Américains.
Mais quelle est la définition d’un travail qui rend plus heureux ? Qui est plus épanouissant ?
Dans le détail, il s’agit d’un travail qui a du sens, dans un endroit qui nous convienne… Cette petite musique monte sur le mal-être des salariés dans les grandes métropoles : ils ne voient pas toujours très bien l’intérêt de leur job.
Ce que confirme une enquête TNS kantar : 18% des salariés ont l’impression d’occuper un poste inutile.
Cela est aussi renforcée par le retour en grâce des villes moyennes au détriment des grandes métropoles, trop chères, trop impersonnelles, trop affairées…
La transformation digitale des entreprises doit composer en interne tout comme à l’externe avec les générations X, Y et Z.
Lire l’article
Un récent article (à lire ici) met en avant ce drôle de paradoxe du monde du travail :
« la reconnaissance au travail est stratégique pour l’entreprise et essentielle pour les salariés. Et pourtant, elle reste davantage synonyme d’incompréhension et de souffrance dans l’univers professionnel. »
Pour l’auteure de cet article, « le mal-être en entreprise est aussi préoccupant que le burn-out ajoutant que les experts identifient le manque de reconnaissance comme le premier risque psychosocial… devant la charge de travail. »
En regard du temps passé au travail, la question est grave !
La force d’une coopérative est d’être « un bien commun » dans lequel chacun a le pouvoir, la possibilité, la chance de s’impliquer, et d’exister avec les autres.
Un peu plus loin, la journaliste écrit que « la difficulté avec la reconnaissance ne réside pas uniquement autour d’une incompréhension entre, d’une part, les salariés qui ne se sentent pas considérés à leur juste valeur pour leur travail et, d’autre part, le manager qui souffre que son équipe ne voit pas tous les efforts qu’il fait pour elle. Le problème pourrait être lié à notre conception de la reconnaissance en entreprise que l’on n’envisage jusqu’à présent que de manière verticale et focalisée sur les résultats individuels. » Et de proposer que « Si le collectif apporte plus de justesse, pourquoi l’entreprise ne permettrait pas à ses salariés de reconnaître de façon officielle et régulière leurs collègues ? »
En coopérative, la verticalité n’est pas une question pas plus que la mise en comparaison des résultats individuels, par contre il y a toujours la volonté d’accompagnement, d’écoute, de partage, de trouver des synergies, des mutualisations.
C’est une autre manière d’envisager la vie au travail !